Voici une liste de recommandations qui vous permettront d’améliorer le taux de lecture de vos e-mailings, mais aussi leur taux de clics, et au final, leur ROI.
Ayez à l’esprit que l’internaute est comme un recruteur face à sa boîte e-mail.
Cette dernière est remplie de propositions, et il se débarrasse en un coup d’œil (le bouton supprimé étant si facilement accessible) des e-mails qui ne l’intéressent pas.
Et ce premier tri est basé sur 2 paramètres :
- le nom de l’expéditeur (est-il connu ? évoque t-il quelque chose ? est-ce une entreprise réputée, etc.)
- l’objet de l’e-mail (ai-je envie d’en savoir plus ? est-ce une proposition intéressante ? etc.)
Basé sur ce constat, voici les astuces que vous pouvez utiliser donc :
> Nom de l’expéditeur et adresse
Il s’agit ici de mettre un nom qui évoque quelque chose à l’internaute
Inutile de vous dire que si le nom est réellement connu par l’internaute en tant qu’interlocuteur coutumier, il sera plus enclin à ouvrir l’e-mail.
Ainsi, une technique consiste à mettre le nom du conseillé commercial auquel se réfère (ou se référera) le destinataire… un nom réel donc.
L’autre technique étant de mettre un nom totalement fictif (mais ne vous étonnez pas alors de recevoir des réponses pour cette fameuse identité fictive) nom généralement féminin.
Enfin, la dernière technique étant de mettre le nom de la société (mais c’est généralement le moins efficace).
Ainsi, il vous est possible de mettre un nom tel que :
Sophie Dumat (Dumat SARL)
Même si ce nom est fictif, il évoque une « proximité » pour le destinataire, et enfin, le nom de la société contribue également a « rassurer » votre contact sur l’origine de l’e-mail.
> Objet
N’oubliez pas qu’il doit être clair et bref.
En quelques mots, l’internaute doit saisir le bénéfice qu’il peut retirer dès l’ouverture de l’e-mail.
Ne pas hésiter à mettre en avant des promotions, des nouveautés, etc.
Mais bannissez 2 techniques qui sont extrêmement préjudiciables :
La première étant l’utilisation de majuscules abusives et autres signes de ponctuation inutiles
La seconde étant l’utilisation de termes réputés pour être d’origine « spamesque » tels que « Gratuit », « Gagnez », etc.
> Date et heure
N’oubliez pas qu’au moment de l’envoi du message, ce dernier est daté.
Evitez donc d’avoir un serveur qui n’est pas à la bonne date.
Cela donnerait le résultat suivant : un e-mail arrivant à la mauvaise date dans la boîte de l’internaute.
Au meilleur des cas, si vous avez une date « future », votre message sera positionné en haut de la boîte e-mail (si cette dernière est triée par heure).
A l’inverse, si vous avez une date « passée », vous risquez alors d’arriver en bas de liste.
Quoiqu’il en soit, ces deux techniques sont utilisées par les spammeurs, et votre e-mail sera probablement supprimé par l’internaute.
> Personnalisation de vos messages
Que ce soit dans l’objet (Offrez-vous des vacances de rêves Monsieur Dupont) ou bien dans le texte même de l’e-mail, pensez à la personnalisation.
En effet, votre base de données, probablement de qualité, comporte probablement ces informations (civilité, prénom, nom) qui vous permettront de donner un sentiment de proximité à votre internaute. Sentiment qui généralement renforce l’efficacité de votre message (et donc les performances globales).
> Aucune pièce jointe
Autre recommandation de base, sorte de règle d’or de l’e-Mailing Marketing.
N’envoyez jamais de pièce jointe à votre e-mailing ! En effet, la majorité des messageries considéreront alors qu’il s’agit non seulement d’un spam, mais d’un danger potentiel de virus.
Le message serait alors stoppé…
Préférez placer dans votre e-mailing un lien vers le fichier, qui sera mis à disposition (téléchargement) sur votre serveur.